“Al Janoubiya au cœur d’Hollywood” fête son 3ème anniversaire
L’hebdomadaire “Al Janoubiya au cœur d’Hollywood” diffusé chaque samedi à 20h45 sur la chaîne de télévision privée « Al Janoubiya » vient de fêter le troisième anniversaire de son lancement. Depuis le samedi 13 janvier 2018, le producteur et animateur tunisien, Ramzy Malouki, n’a pas cessé de gratifier quotidiennement les adeptes du « 7ème Art » de toute l’actualité d’Hollywood, des stars et des derniers à ne pas manquer. Très attaché à ses racines tunisiennes, Malouki a voulu se servir de ses introductions dans le monde du cinéma hollywoodien et de ses relations avec les stars pour faire vivre aux téléspectateurs tunisiens, les moments forts de l’actualité comme s’ils étaient embarqués dans cette aventure. Il a atteint dans ce cadre son objectif de leur faire découvrir le monde passionnant du cinéma et de leur montrer, à travers les “Red Carpet”, les interviews exclusives et les reportages dans les coulisses du Show-biz que les “success stories” sont possibles. D’ailleurs, l’on peut dire sans risque de se tromper que ce magazine a fait acquérir à la chaîne de télévision Al Janoubiya plus de visibilité et de notoriété. Il est à rappeler que Ramzy Malouki est installé à Los Angeles en tant que correspondant permanent de « Canal + » et qu’il coproduit et présente plusieurs magazines d’informations-divertissements hollywoodiens. Parallèlement, il apparaît régulièrement sur les chaînes du groupe Canal+ pour couvrir l’actualité américaine et présenter en direct les grandes cérémonies hollywoodiennes. Pionnier des chroniques hollywoodiennes en langue arabe, Ramzy Malouki est à ce jour le seul journaliste arabe à bénéficier d’un accès privilégié à...
Tunisie : Festival Manarat verra la création de l’Arab Film Institute Commission (Laatiri)
Le festival du cinéma méditerranéen Manarat, prévu su 9 au 15 juillet, verra la création de l’”Arab Film Institute Commission”, a annoncé, mardi, Chiraz Laatiri, directrice générale du Centre National du Cinéma et de l’image (CNCI). Au cours du point de presse tenu au siège de la Biat, pour dévoiler le programme de Manarat, elle a présenté l’Arab Film Institute Commission comme “un groupement de réflexion autour des problèmes du cinéma méditerranéen du Sud, volet distribution, sous-titrage, fonds communs de production… “. Il sera, en quelque sorte, l’équivalent des European federation of agence directors (EFADS) pour les pays du Nord, a-t-elle dit. Elle a également annoncé le lancement de la billetterie unique au cours de ce nouveau festival cinématographique méditerranéen estival pour lequel a été “alloué un budget de près de 1,3 Milliard de dinars, contribution de plusieurs partenaires publics et privés”. Il est organisé par le Centre National du Cinéma et de l’image (CNCI), le Centre national français du cinéma et de l’image animée (CNC) et l’Institut Français de Tunisie (IFT) avec le parrainage de la Banque Arabe Internationale de Tunisie (Biat). Le volet institutionnel et professionnel du festival s’articule sur trois autres grands rendez-vous dont une rencontre réunissant les centres de cinéma Nord-Sud qui mobilise huit des EFADS (European federation of agence Directors), un groupement des CNC européens. De la rive nord, les pays représentés sont la France, la Belgique, l’Allemagne, le Portugal, la Slovénie, la Croatie, l’Espagne et l’Hongrie. Des pays du Sud 7 pays seront représentés, à savoir la Tunisie, l’Egypte, l’Algérie, le Maroc, la Jordanie, la Palestine et le Liban. Le CNC Français et le Centre cinématographique marocain (CCM) présenteront le mécanisme d’avance sur recette qui est en vigueur en France depuis longtemps et au Maroc depuis déjà 15 ans. A cet effet, Laatiri a indiqué que le CNCI vient de finaliser la réforme des mécanismes d’aide à la production qui sera dorénavant fonctionnel à travers une avance sur recette. Un workshop sera destiné à la nouvelle vague des jeunes réalisateurs et producteurs qui s’appuient sur “un modèle de business assez distinct de celui des anciens”, selon Laatiri. Ils auront une formation sur les possibilités de financement offertes, autres que celles de l’Etat, dont les fonds d’aide à travers le monde, à l’instar du Doha film Institute, Afac, Aide aux Cinémas du monde… Le Wokshop les initiera aussi aux modèles de candidatures réussies auprès de ces fonds. Le programme médias de l’Union européenne (UE) présentera aux professionnels les opportunités offertes pour les tunisiens, notamment la société civile active dans la culture créative, numérique et du cinéma surtout que la Tunisie abrite le desk régional...
Tunisie: Nouvelle programmation cinéma de l’IFT pour le mois de janvier 2018
A partir du 3 janvier 2018, l’Institut français de Tunisie (IFT) propose cinq séances de cinéma par semaine (du mercredi au samedi), avec au programme du cinéma tunisien, français et du monde. Des séances pour tous, avec des films en avant-première et des films inédits sont au programme. Toute la diversité du cinéma sera représentée chaque semaine du mercredi au vendredi à 18h00 avec des coups de cœur, des rétrospectives de cinéastes ou d’acteurs, des documentaires… Le samedi après-midi sera dédié aux enfants avec des projections à 16h00. Le samedi soir la séance sera à 20h00, informe l’IFT dans sa newsletter. En janvier, Selma Baccar, Kaouther Ben Hania, Elyes Baccar, Xavier Dolan, Golshifteh Farahani, Melvil Poupaud, Jihane Chouaib, Walid Mattar, Tarik Saleh, Bertrand Tavernier, Raouf Ben Amor, Disney et bien d’autres seront à l’honneur… Voici le programme détaillé des projections sachant que le tarif des billets est fixé à six dinars: – Mercredi 3 janvier (18h00) : “Zaineb n’aime pas la neige” de Kaouther Ben Hania – Jeudi 4 janvier (18h00) : “El Jaida” de Selma Baccar – Vendredi 5 Janvier (18h00) : “Tunis By Night” d’Elyes Baccar – Samedi 6 Janvier (16h00) : “Coco” de Lee Unkrich et Adrian Molina – Samedi 6 janvier (20h00) : “Laurence Anyways” de Xavier Dolan – Mercredi 10 janvier (18h00) : “Go Home” de Jihane Chouaib – Jeudi 11 janvier (18h00) : “Vent du Nord” de Walid Mattar – Vendredi 12 janvier (18h00) : “Le Caire confidentiel” de Tarik Saleh – Samedi 13 janvier (16h00) : “Tout en haut du monde” de Rémi Chayé – Samedi 13 janvier (20h00) : “Voyage à travers le cinéma français” de Bertrand Tavernier – Mercredi 17 janvier (18h00) : “Le Caire confidentiel” de Tarik Saleh ; – Vendredi 19 janvier (18h00) : “Zaineb n’aime pas la neige” de Kaouther Ben Hania – Samedi 20 janvier (16h00) :”Coco” de Lee Unkrich et Adrian Molina – Samedi 20 janvier (20h00) : “El Jaida” de Selma Baccar – Mercredi 24 janvier (18h00) : “Vent du Nord” de Walid Mattar – Samedi 27 janvier (16h00) : “Tout en haut du monde” de Rémi Chayé – Samedi 27 janvier (20h00) : “Tunis by Night” d’Elyes Baccar – Mercredi 31 janvier (18h00) : “Voyage à travers le cinéma français” de Bertrand...
“THE MAN BEHIND THE MICROPHONE”: Un film qui retrace l’héritage artistique de Hédi Jouini
Projeté le 9 décembre en avant première dans la région MENA lors du Dubai International Film Festival dans le cadre de sa 14ème édition, “The Man Behind The Microphone” retrace le parcours de l’artiste tunisien Hédi Jouini. Co-produit par Claire Belhassine de Clair de Lune Films, Olfa Terras de La Fondation Rambourg et Mike Lerner d’Utopia, le film est une réalisation de Claire Belhassine, la petite fille de l’emblématique chanteur. Disparu en 1990, après une carrière longue de près de 60 ans, Hédi Jouini a laissé plus de 1070 chansons et 56 opérettes auxquelles viennent s’ajouter plus de 900 partitions répertoriées à ce jour. Qui était Hédi Jouini ? S’il est vrai qu’on pouvait le nommer le Frank Sinatra de la Tunisie, Hédi Jouini était encore plus que cela. On pourrait identifier la vie de ce grand interprète-compositeur au renouveau de la chanson tunisienne. Deux fois décoré par le Président Bourguiba pour sa contribution à l’élévation de la musique tunisienne et son apport à l’enrichissement du patrimoine culturel national, il fait partie des rares chanteurs-compositeurs ayant reçu la plus haute distinction de l’Académie de musique du monde arabe. Aujourd’hui encore, ses chansons aux airs inspirés du flamenco n’ont pas pris une ride et ne cessent de connaitre le succès en Tunisie et dans les pays de l’Orient. Un documentaire poignant “The Man Behind The Microphone” retrace l’héritage culturel que Hedi Jouini a laissé à son pays, mais également la peine qu’il a léguée aux personnes qui lui étaient proches. Le film de 86 minutes, sorti en 2016, retrace la vie du chanteur et remet en surface les traces qu’il a laissées. Selon la productrice Claire Belhassine, « Ce film nous emmène dans un voyage poétique et d’investigation personnelle, qui révèle la peine que Hedi a laissée aux personnes les plus proches de lui et le joyeux héritage culturel qu’il a légué à son pays ». Effectivement, le documentaire est plus qu’une biographie ; il rapporte à la fois un chapitre de l’histoire de la musique en Tunisie, une poignante chronique familiale et une analyse sociologique des transformations d’un pays où les influences occidentales et arabes fusionnent. En discutant avec son père, un oncle et deux tantes, Claire Belhassine vient à bout d’une dynamique familiale que son père Farid décrit comme dysfonctionnelle. Entre photos d’archives et films vidéos de ses vacances d’été à Tunis, la scénariste réussit à remettre dans son contexte une histoire décrite par son oncle comme une histoire triste, mais une histoire qui néanmoins, une fois reprise, atteint son faîte en ravivant et en exacerbant le sens de l’appartenance à une famille. La participation de la Fondation Rambourg C’est à travers une...
Egypte : Dhafer Abidine décrit sa détermination à réussir malgré les obstacles rencontrés
Ghada Adel a invité lors de son émission, l’acteur tunisien et ancien footballeur Dhafer Abidine. L’acteur qui rencontre actuellement un grand succès a décrit toutes les étapes de sa vie qui ont fait de lui, ce qu’il est aujourd’hui. Il précise qu’il a arrêté de jouer au footballeur suite à une blessure. Sa vie s’est arrêtée durant deux ans, deux ans de chômage. Plus tard, il s’essaye en tant que mannequin puis son ami, le réalisateur et producteur Moncef Dhouib, le met sur le chemin du cinéma. Vidéo : [embedded...
Tunisie : Dorra Zarrouk dévoile l’intérêt que lui porte l’ambassadeur français Olivier poivre d’Arvor
L’actrice tunisienne, Dorra Zarrouk, qui connait un grand succès en Egypte a été interviewée par le magazine Sayidaty. La journaliste a posé des questions à l’actrice sur sa relation avec l’ambassadeur français en Tunisie, Olivier Poivre d’Arvor. Dorra Zarrouk a expliqué que l’ambassadeur s’intéresse de près à la culture et au cinéma et elle a été surprise de savoir que l’ambassadeur connaît ses travaux artistiques. Elle précise aussi qu’elle serait intéressée de travailler en France déclarant que si l’occasion se présente, elle ne la ratera...